vendredi 4 juin 2010

Force-T - 1994 (F) T-Force

-Dans les gratte-ciels fédéraux, les statuts de plâtres ne sont pas faits solide.
-Un hélicoptère peut être silencieux jusqu'au moment ou le gars dedans se mets à tirer.
-Traiter une otage qui vient de s'enfarger par terre "d'espèce de chienne" est approprié.
-Les sergents en chef lors d'une prise d'otage sont très passifs lorsqu'un otage se fait lancer par la fenêtre d'un 30e étage.
-Un film, pour nous surprendre, peut faire entrer en scène son acteur principale de dos, pour crée un suspense et amener le spectateur à se demander "quel vedette va se retourner?" Force-T trouvais que cette règle s’appliquais au très connu Jack Scalia.
-Lorsqu’ils sont dans un corridor, les cyborgs ne savent pas viser.
-C'est utile pour un cyborg d'avoir une queue de cheval et une barbe.
-Les policiers cool qui n'aiment pas les robots prétendre qu'ils voudraient bien ce servir des fesses d'une cyborg comme grille-pain.
-Le grand débat qui sépare les cyborgs est le coté OBÉIR À L'AUTORITÉ contre le coté AUTO-PRÉSERVATION.
-Les scientifiques sont facilement "mounchable".
-Les policiers cool qui n'aiment pas les cyborgs sont old school, ils trippent sur les hologrammes.
-Les cyborgs adeptes de la théorie de l'auto-préservation trouvent que d'attaquer un poste de police pour s'auto-préserver est une bonne idée et pas du tout risqué de s'anti-préserver.
-Il y a un programme qu'on peut mettre dans un cyborg qui va le mettre au courant que c'est quasiment érotique une fille qui suce un gun.
-Il est possible pour les femmes cyborgs d'avoir froid, ou il est possible pour les femmes cyborgs d'avoir les boutes dur.
-Les cyborgs peuvent faire l'amour.
-Lorsque des cyborgs décident de procréer, ça attire les saxophones.
-Les cyborgs adepte de l'auto-préservation s'acharnent beaucoup trop sur les concierges de bateau militaire.
-Y'a toujours des dune-buggys qui trainent dans les dépotoirs/pits de sable
-Lorsque les cyborgs adeptes de l'auto-préservation sont sur le point de mourir, ils prennent le temps de faire un "fuck you".

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